J’ai souvent cherché la chenille de l’Aurore, un joli papillon printanier, sur la Cardamine des prés, sans succès. Cette année, c’est sur son autre plante hôte, l’Alliaire que je comptais la chercher. Et finalement, je n’ai pas eu à aller plus loin que mon jardin, sur l’unique plant d’Alliaire que j’avais transplanté au début du printemps, et sur lequel j’avais vu une femelle d’Aurore se poser plusieurs fois.
Et depuis que je l’ai observée dans mon jardin, j’ai trouvé bien d’autres de ces chenilles, le long des chemins où pousse l’Alliaire, en fruits. La chenille se nourrit d’abord des fruits immatures, puis des feuilles dès que ceux ci sont épuisés.
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Comme d’habitude, des informations de premier ordre accompagnées de photos de qualité nous permettant de reconnaitre à coup sur l’ensemble des points abordés.
Merci mille fois pour ce site que je parcours très souvent, le plus souvent possible.
J’ai plein d’aillière dans mon jardin….mais pas les chenilles.Bonne après-midi, Claudie Stein (ma nouvelle adresse : claudestein47@yahoo.de)
escadron en folie de petits papillons aux très très longues antennes dans la lumière de juin à proximité du romarin